lundi 23 septembre 2019

LA PENTE GLISSANTE DE LA CEDH


TOUS DANS LA RUE le 6 OCTOBRE 
 L'ECLJ (European Centre for Law
& Justice) rejoint "Marchons enfants"
POURQUOI ?
Pour lire en détail l'analyse de Gregor Puppinck , Docteur en droit et directeur de l'ECLJ cliquez sur ce lien : 

“Droit à l'enfant pour toutes” : la pente glissante de la CEDH


"La souffrance des enfants privés volontairement de leur père nous oblige à agir, à nous opposer au projet du gouvernement français de légaliser la « PMA sans père ». Nous ne pouvons pas laisser une telle injustice s’installer dans notre société.  


C’est pourquoi l’ECLJ rejoint le collectif d’associations « Marchons enfants ! » et appelle à manifester le dimanche 6 octobre 2019 à Paris. Cette manifestation sera l’occasion de réaffirmer les droits de l’enfant, en particulier celui « de connaitre ses parents et d’être élevé par eux », garanti par la Convention internationale des droits de l’enfant." 



Petit aperçu des aberrations juridiques dans lesquelles les apprentis-sorciers de la procréation placent la société :
·   Une Française souhaite procéder à l’insémination de spermatozoïdes congelés de son compagnon décédé (V. D. c. France)
·   Une Allemande a conçu un enfant par don anonyme de sperme ; elle a accouché de cet enfant, mais souhaite être reconnue elle-même comme « père » de l’enfant (O.H. et G.H. c Allemagne)
·   Deux lesbiennes allemandes demandent une « présomption de maternité » pour la « femme de la mère » (R.F. et autres c. Allemagne).
·   Deux lesbiennes autrichiennes se plaignent de ne pas figurer comme « mères » du même enfant conçu et porté par l’une, et adopté par l’autre (S.W. et autres c. Autriche).
·   Deux autres affaires visent à forcer la Pologne à enregistrer deux personnes de même sexe comme les parents d’un enfant (affaires A.D.-K. et Schlittner-Hay contre la Pologne).
·   Trois couples se plaignent du refus de la France de reconnaître comme mères des femmes commanditaires d’enfants nés de mères porteuses à l’étranger (affaires Braun, Saenz et Saenz Cortes, et Maillard contre la France).

Ces affaires nous montrent à quel point le désir d’enfant peut conduire à la folie ; et comment cette folie peut devenir réalité grâce à la technique. Devenue réalité, elle s’attaque à présent aux normes juridiques pour transformer ce désir en droits et reconfigurer, à travers eux, la réalité sociale à son image, dans l’espoir illusoire de se normaliser.  
Pour lire en détail l'analyse de Gregor Puppinck , Docteur en droit et directeur de l'ECLJ cliquez sur ce lien : 

“Droit à l'enfant pour toutes” : la pente glissante de la CEDH



Tous à Paris le 6 octobre, contre la PMA sans Père et la GPA !  

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