GENDER :parents, sachez-le! CP le 3 octobre 2016

OCTOBRE 2016
COMMUNIQUE DE PRESSE

Tous nés d’un homme et d’une femme

Paris, le 3 octobre 2016


Stop à la diffusion du genre à l’école
Laissons nos enfants tranquilles !
La Manif Pour Tous appelle les familles à manifester le 16 octobre à Paris contre les nouvelles offensives du gouvernement contre la famille, la filiation et l’éducation et aussi contre toutes formes d’enseignement du genre à l’école. Il faut mettre un terme à la remise en cause de l’identité sexuelle des enfants.
Alors que le Pape François vient de dénoncer l’idéologie du genre dans les écoles de France, le gouvernement semble perdre les pédales. Najat Vallaud Belkacem sombre une nouvelle fois dans le déni, le mépris et l’insulte pour éviter soigneusement tout débat de fond. En agissant ainsi, elle renforce le climat de défiance entre les parents et l’Education nationale. « Pourquoi refuser de travailler avec les familles sur des sujets essentiels ? » s’interroge Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. Expérimentés dans la plus grande opacité, les ABCD de l’égalité, véritable outil idéologique pro-genre, ont finalement été retirés sous la pression des familles à l’été 2014. Mais la ministre de l’Education nationale n’a pas abandonné et cherche à imposer par tous les moyens possibles le genre à l’école. C’est précisément ce qu’a dénoncé le Pape François en qualifiant cette volonté de changer les mentalités des plus petits de « colonisation idéologique ». Car l’enseignement du genre relève bien de l’idéologie et non de la lutte contre les stéréotypes. Expliquer que les garçons et les filles sont égaux est une évidence. Mais lutter contre les stéréotypes, c’est à dire les clichés, ne signifie pas qu’il faille gommer les différences entre les sexes. Un garçon et une fille sont égaux. Ils sont aussi différents. C’est le respect de cette différence que l’école doit enseigner.
« Il faut rétablir la confiance entre les familles et l’école » selon Ludovine de La Rochère. Cela passe par un arrêt définitif de l’enseignement du genre à l’école et une condamnation de l’idéologie qui l’accompagne : remise en cause du sexe biologique, des différences homme/femme, de l’altérité sexuelle… « La propagande et l’idéologie n’ont pas leur place à l’école. Les parents en ont marre ! » poursuit-elle. « Jean a deux mamans », « Mehdi met  du rouge à lèvres » ou bien encore « Je veux un zizi » : les livres pour enfants recommandés par l’Education nationale ne doivent pas chercher à imposer une déconstruction de l’identité sexuelle des plus petits. « Quelle folie de s’en prendre à des enfants de 6 ans ! Quelle folie d’imposer à des petites filles l’idée qu’elles pourraient être un garçon ! Quelle folie d’imposer à des petits garçons l’idée qu’ils pourraient être des filles ! Quelle folie de remettre en cause l’identité des enfants pour faire avancer les revendications d’un lobby LGBT aussi radical qu’ultra minoritaire. Trop c’est trop : rendez vous le 16 octobre » s’indigne Ludovine de La Rochère. La mise en garde du Pape contre le genre et son appel à défendre le mariage et la famille devrait être entendus par de très nombreuses familles, de toutes religions et tendances politiques. « Nous recevons beaucoup de messages et d’encouragements ces derniers jours et plus encore depuis ce matin. La famille est le ciment de l’unité nationale » déclare Albéric Dumont, Coordinateur général de La Manif Pour Tous.
La Manif Pour Tous rappelle que l’école a d’autres priorités, malheureusement trop souvent oubliées par l’éducation nationale : apprendre à nos enfants à lire, écrire et compter. Afin de recréer un lien de confiance entre l’école et les familles, La Manif Pour Tous propose une révision complète des programmes par une haute autorité indépendante et l’approbation des nouveaux programmes scolaires par la représentation nationale pour mettre un terme à la prise en otage de l’école par une poignée de pédagogues. Enfin, il est indispensable de repenser complètement l’éducation affective et sexuelle en interdisant purement et simplement les interventions d’associations militantes LGBT. La déconstruction en cours de la filiation est malheureusement un terreau pour la diffusion du genre. L’adoption par les couples de même sexe, la PMA « sans père » et la GPA sont des illustrations d’une filiation fiction où la réalité du père et de la mère est tronquée.

Théorie, théories, idéologie, concept… le genre à toutes les sauces pour une seule et même salade !
Le genre est souvent au cœur d’une bataille sémantique que ses promoteurs cherchent à imposer pour reléguer la réalité du problème qu’il soulève. En vérité, que l’on parle de concept de genre, d’idéologie du genre ou de théorie (au singulier ou au pluriel) du genre, peu importe. En voulant « rééduquer » nos enfants, les promoteurs du genre veulent imposer la remise en cause de l’identité sexuelle. Ils veulent gommer le fait d’être un homme ou une femme par le sentiment de se sentir homme ou femme. C’est en ce sens que l’on peut parler d’idéologie et, dès lors qu’elle se diffuse à l’école, on peut parler de propagande. C’est cette même idéologie relativiste qui encourage l’homoparentalité en niant la richesse de l’altérité sexuelle et le besoin pour tout enfant de connaître et d’être élevé, dans la mesure du possible, par son père et sa mère. Le changement de sexe sur simple déclaration est aussi une conséquence de cette idéologie dangereuse pour la société. C’est ce que dénonce La Manif Pour Tous. 

septembre 2014- Flagrant délit de genre à l’Education nationale (lire en bas de page)


PARENTS, SACHEZ-LE...!!!

Observation des faits depuis 2013


Par l'Observatoire de la théorie du genre - le 25 octobre 2013
Le gouvernement vient d’offrir un nouveau cadeau aux adeptes de la « théorie » du genre. Dans un document officiel, disponible sur le site du Premier ministre, des consignes sont données au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et au ministère de la culture de veiller à ce que la télévision et la production culturelle donnent une bonne image des mouvements LGBT (Lesbienne, Gay, Bisexuel, Transsexuel) et de leurs combats, notamment en faveur de la « théorie du genre ».

Après l’école, ce sont désormais les médias qui se transforment en armes de propagande. Plusieurs reportages ont ainsi été financés et diffusés à la télévision pour promouvoir la possibilité offerte à chacun de pouvoir « auto-déterminer » son genre, c’est-à-dire, choisir indépendamment de son anatomie de devenir un homme ou une femme. (Cf. notre article)

La chaîne de la TNT, Chérie 25, est même allée jusqu’à vanter la possibilité pour de très jeunes enfants de changer de genre. (Cf. notre article)

Imagine-t-on les terribles conséquences et la confusion qu’un tel discours peut produire sur des jeunes enfants !
Ces discours sont encore aggravés par la promotion faite dans ses reportages pour des traitements hormonaux dont le but consiste à bloquer la puberté des adolescents
(Cf. notre article sur les Pays-Bas).
Pour lutter contre cette propagande et faire mieux connaître les dangers de la théorie du genre. Nous avons besoin de vous.

Il est important d'alerter vos amis. 
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Malgré les dénégations de Jean-Marc Ayrault, l’enseignement de la « théorie du genre » se développe rapidement en France.

Chaque jour, certains livres et des enseignements sont imposés aux enfants, comme « Papa porte une robe » ou plus récemment « ma mère est une femme à barbe ».

En prétendant que « l’identité sexuelle n’est qu’un simple sentiment, sans aucun lien avec son anatomie ou son sexe biologique », la théorie du genre constitue un danger pour le développement harmonieux de nos enfants. Cette crainte est d’ailleurs partagée par une très grande majorité de psychanalystes et de pédiatres.

Pourtant, les militants de « la théorie du genre » n’hésitent pas à instrumentaliser de jeunes enfants pour en faire les porte-drapeaux de leur cause.

Ainsi, le 27 septembre dernier, un petit garçon argentin, âgé de six ans seulement, a été autorisé à « changer de genre » grâce au lobbying très efficace d’associations LGBT (Lesbienne, Gay, Bisexuel, Transsexuel).

Aux USA, c’est également un petit garçon de six ans qui s’est retrouvé au centre d’une bataille juridique afin d’obliger son établissement à lui ouvrir les portes des toilettes et des vestiaires pour filles.

En France, des associations, avec le soutien bienveillant du gouvernement, militent déjà pour faire reconnaître de telles pratiques.

Devant la multiplication de cas de ce type, on ne peut que craindre le pire. Comment ne pas penser au suicide tragique du premier « cobaye » de la théorie du genre, le petit Bruce Reimer.
NOVEMBRE 2013
Récemment, des parents vigilants nous ont  signalé qu’un film très militant, intitulé Tomboy, était diffusé à des élèves âgés de seulement 8 ans, et cela durant les heures de classe.

Nous ne pouvons accepter cela, d’autant que cette « théorie » prospère sur un mensonge.

En effet, aujourd’hui encore, ce sont les travaux du Pr. John Money qui servent de caution « scientifique » aux militants du genre. Pourtant, son expérience sur le petit Bruce Reimer s’est soldée par un véritable drame humain avec le suicide de son patient.

Laissez-moi vous rappeler brièvement son histoire.

En 1966, le petit Bruce Reimer a seulement neuf mois quand il doit subir une circoncision médicale pour lui permettre d’uriner correctement. Malheureusement, par accident, le chirurgien brûle complètement et irrémédiablement le pénis du petit garçon. Durant de longs mois, ses parents vont consulter en vain de nombreux médecins.

Désespérés, ils finissent par se tourner vers le Pr. John Money. Ce psychologue et sexologue néo-zélandais prétendait être capable de changer le sexe des enfants. Selon lui, l’identité sexuelle des enfants, garçons ou filles, est suffisamment flexible durant les premières années de la vie pour permettre de leur réassigner un nouveau genre (masculin ou féminin) grâce à un suivi médical (traitement hormonal et chirurgical), psychologique (thérapie) et culturel (attitude des parents et influence de l’éducation).

Le Pr. Money a réussi à convaincre les parents du petit Bruce que leur garçon serait plus heureux s’il devenait une petite fille. Il lui a fait subir dès l’âge de deux ans, une thérapie, un traitement hormonal lourd et une castration chirurgicale. C’est suite à ce calvaire que Bruce est devenu Brenda.

Après l’opération, Money suivit en thérapie la « nouvelle » petite fille durant plusieurs années pour la convaincre de sa nouvelle identité, mais aussi pour l’étudier.

Il souhaitait, grâce à cette expérience, apporter la preuve de la validité de ses thèses sur la « flexibilité de la division sexe/genre ». Il publia dès 1972 un livre pour vanter le soi-disant succès de son expérience.
En réalité, tout cela a tourné au drame.

Brenda ne s’est jamais sentie fille. Malgré les hormones et la thérapie, elle a continué à éprouver un profond malaise. À treize ans, elle manifesta des tendances suicidaires. Face à la douleur de leur enfant, ses parents ont été obligés de lui révéler qu’en réalité, elle était un garçon. Brenda a refusé immédiatement de poursuivre sa thérapie et son traitement hormonal. Elle a même demandé à ses parents de l’appeler David.

Neuf ans plus tard, David a pu entreprendre une nouvelle opération chirurgicale pour redevenir un homme.
David/Brenda/Bruce gardera de profondes séquelles de cette expérience. Il ne s’en remettra jamais et, à 44 ans, il finira par se suicider.

Mais, avant de se suiciderDavid Reimer décida de rendre public son histoire. Il publia, en 1997, un livre dans lequel il témoigna des conséquences néfastes de ces thérapies afin d’éviter que d’autres enfants subissent les mêmes traitements.

Malheureusement, cela n’a pas empêché ceux qui voyaient en lui un simple cobaye au service de leur « théorie » de continuer à se référer à cette expérience comme si elle avait été une réussite.
La mort tragique de David Reimer aurait dû leur servir de leçon ; ils ont préféré cacher  cette triste fin pour ne pas discréditer leur théorie.


C’est pourquoi, c’est à nous de faire connaître au plus grand nombre cette tragique histoire, comme l’a souhaité David Reimer, lui-même.

 Il est important d'alerter vos amis.
Vous avez votre place à prendre...pour protéger vos enfants et petits-enfants!
Nous avons mis en place sur la Dordogne une équipe de travail qui se forme et s'organise pour œuvrer avec vous contre l'idéologie du genre. 
Nous pouvons vous mettre en lien avec cette équipe pour que, dans chaque zone de la Dordogne, des parents inquiets pour l'éducation de leurs enfants, des spécialistes de l'enfance attentifs au devenir de la génération suivante, puissent agir ensemble comme un antidote à cette idéologie du genre .
http://lamanifpourtous24.blogspot.fr/p/urgent-urgent-parlementeuropeen-alerte.html

Et, n'hésitez pas à vous faire connaître sur notre adresse mail: manifpourtous24@gmail.com .
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L’observatoire de la théorie du genre a été lancé par l’UNI afin d’offrir aux français les informations et les outils conceptuels nécessaires pour ouvrir les yeux sur la théorie du genre.
 
Alors qu’était voté le projet de loi sur l’égalité entre les hommes et les femmes au Sénat mardi 17 septembre, plusieurs amendements visant à la simplification juridique des procédures de changement de sexe ont été rejetés par le gouvernement et les parlementaires. Un échec pour les associations trans et partisans lgbt ? Pas nécessairement si on considère la promesse tacite du Ministre des droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem :
« Le sujet mérite mieux que des mesures partielles qui pourraient être considérées comme des cavaliers par le Conseil Constitutionnel, au risque de décevoir les espoirs soulevés. Dans le cadre du projet de loi de simplification du droit, au premier semestre 2014, des dispositions seront inscrites qui s’inspireront de vos travaux » a-t-elle tenue à rassurer [1]
Les amendements en question ont notamment été déposés par Chantal Jouanno (UDI), Kalliopi Ango Ela (EELV), Esther Benbassa (EELV), Maryvonne Blondin (PS) et Cécile Cukierman (FdG).
La sénatrice UDI a principalement demandé que soit facilité le changement de la carte d’identité. Mais c’est Esther Benbassa, connu pour son engagement en faveur de la PMA et de la GPA, qui a porté la revendication la plus parlante :
« L’article 4 de la loi du 6 août 2012 relative au harcèlement sexuel a été présenté comme ayant pour conséquence la reconnaissance de la transphobie en droit français. Or c’est la notion "d’identité sexuelle" qui a été retenue, notion qui risque d’exclure de son champ d’application plusieurs milliers de personnes en cours de transition, ou vivant durablement dans des situations transgenres, ou à qui l’État refuse un changement d’état civil. Le présent amendement a donc pour objet d’y substituer la notion "d’identité de genre"
Ces demandes s’inscrivent dans la continuité des récents travaux de Daniel Borrillo (voir notre article) ou encore ceux de la Commission nationale consultative des Droits de l’Homme.
L’enjeu étant, sous couvert d’une reconnaissance des « droits des personnes trans » - donc derrière le paravent « égalité » de découpler le sexe biologique du « genre », c’est-à-dire une identité (masculine, féminine, ou neutre) choisie librement au gré de ses désirs. Une consécration juridique de la théorie du genre à laquelle est favorable plus de la moitié des membres du gouvernement


IRONIE
La théorie du genre qui « n’existe pas » – selon les mots des ministres Najat Vallaud-Belkacem et Vincent Peillon – s’enseigne de plus en plus à l’université. Petit florilège des formations proposées à ce sujet :
-          Diplôme inter universitaire en Etudes sur le genre à l’Université de Rennes 2.
-          Master européen EGALES (Etudes Genre et Actions liées à l’Egalité dans la Société), ainsi que Master en Histoire des femmes et du genre, à l’Université Lumière Lyon 2.
-          Master Genre et développement, à l’Université Paris – Diderot, Paris 7.
-          Master européen en Genre et développement élaboré conjointement par l’Université Paris – Diderot , l’IHEID (Suisse) et l’IED (Louvain, Belgique), en partenariat avec l’IEDES (Paris 1), le Laboratoire de dynamiques morales (Toulouse), l’ISS (La Haye, Pays-Bas) et le KIT (Amsterdam, Pays-Bas).
-          Master professionnel en Genre et politiques sociales, à l’Université de Toulouse.
Cela fait tout de même beaucoup de possibilités de suivre des formations issues dune théorie qui « n’existe pas ».
L’Allemagne autorisera la mention « sexe indéterminé » sur les certificats de naissance dès le 1er novembre 2013, le Népal, depuis le mois de juin, prévoit un « troisième genre » sur les passeports et  cette possibilité existe aussi déjà pour les passeports australiens avec les mentions « masculin, féminin ou x ».  Pour obtenir un visa pour l’inde, vous pouvez vous inscrire comme homme, femme ou transgenre…
Le monde sombre dans une folie collective ! Mais tôt ou tard, le réel s’imposera à nouveau.
URGENCE! renseignez-vous sur le GENDER !

Après avoir fait adopter à marche forcée, le projet de loi Taubira ouvrant le mariage et l'adoption aux couples homosexuels, le gouvernement s'apprête à franchir une nouvelle étape, peut-être encore plus dangereuse.
Le 4 janvier dernier, Vincent Peillon, ministre de l'Education nationale adressait une circulaire à l'ensemble des recteurs pour leur demander " de s'appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités" afin de lutter contre les préjugés liés à "l'identité de genre".
"Genre". Derrière ce mot qui était alors utilisé pour la première fois dans un texte officiel du ministère, c'est une véritable idéologie qui fait son entrée dans l'Education nationale. Née au début des années 70, au sein des milieux féministes les plus radicaux et des communautés LGBT (Lesbienne, Gay, Bisexuel, Transsexuel), la théorie du genre vise à renverser "l'ordre hétérosexuel", à remettre en cause les fondements biologiques et naturels de l'identité sexuelle des personnes, et au final à nier l'altérité et la différence des sexes.
Depuis, l'influence des militants de la théorie du genre ne cesse de grandir au sein du ministère de l'Education nationale : rédaction des manuels scolaires, expérimentation des crèches neutres, volonté de débaptiser les maternelles, etc...
Aujourd'hui, il y a urgence.
La député PS, Julie Sommaruga, a fait adopter un amendement à la future loi sur l'école qui rend obligatoire, dès la prochaine rentrée scolaire, l'enseignement de la théorie du genre pour tous les élèves à partir de 6 ans. 


Pourquoi des millions de Français sont-ils encore dans la rue, et sont-ils entrés en Résistance?
Parce qu’ils refusent qu’on leur impose la théorie du Genre (ou Gender) totalement aberrante.
Le GENDER est une idéologie qui vient des Etats-Unis et a fait son apparition en France il y a une dizaine d’années. Cette théorie déclare que les différences hommes/femmes ne seraient dues qu'aux pressions qu’exercent les familles, l’école et la société sur les enfants, dès leur plus jeune âge. C'est de notre faute si nos garçons se sentent garçons et nos filles se sentent filles... Non, vous ne rêvez pas! (voir site ci-dessous, très instructif).
Ce serait presque risible si ça ne touchait pas directement nos enfants dans nos établissements scolaires !
Mardi 19 mars 2013, l’Assemblée nationale a adopté, en première lecture, une loi stipulant que les élèves dès l’école élémentaire devront suivre une « éducation à l’égalité de genre». Dès la rentrée 2013/2014, l’école devra donc apprendre à nos enfants à partir de 6 ans qu’ils ne sont ni garçons, ni filles, mais qu’il faut qu’ils choisissent ! Mme Taubira a également déclaré que « l’Etat doit arracher les enfants aux déterminismes des familles ». Sur la Ligne Azur encouragée par l’Education Nationale par la lettre du 4 janvier 2013, on propose d’ailleurs à l’enfant de choisir librement son orientation et ses identités sexuelles : hétéro/homo/bi/trans. http://www.ligneazur.org/sante-sexuelle/situations-individuelles-multiples
Tout désaccord avec ce programme sera dénoncé comme une discrimination. Et dans les années à venir, l’Etat, sous la pression de minorités et au nom de l'égalité, devra mettre en place des outils pour pallier l’absence de fécondité de ces unions (PMA pour Tous et GPA ou mères porteuses).
Les suédois, qui ont dix ans « d’avance » sur nous en la matière, vont défendre cette semaine une loi obligeant les hommes à uriner assis…
Les croisés du Gender sont en route, et ces quelques phrases déposées la semaine dernière au Conseil Constitutionnel font froid dans le dos : « La loi n’a à tenir compte ni du sexe, ni de la nature ; le discours sur la différence des sexes est homophobe. L’altérité sexuelle n’est pas nécessaire à l’éducation des enfants, ou encore il faut « libérer la femme de la servitude de la maternité » Trop, c’est trop !
Halte à l’absurdité ! Oui au bon sens ! RÉAGISSONS MAINTENANT !

Pour en savoir plus :



Nous vous proposons ici quelques pistes pour appréhender ce que cette "théorie" prépare pour notre pays, pour nos familles, pour nos enfants... cliquez sur les liens pour découvrir...!

 La démocratie face à la théorie du genre

La théorie du genre dans les écoles, les collèges et les lycées cliquez sur les liens pour découvrir...

  1. « Anatole se demande comment on fait les bébés »
  2. Pastiche du Petit Nicolas : « On a eu éducation sexuelle »
  3. Dans les lycées, la théorie du genre a été intégrée dès 2011 aux programmes de SVT de 1ère. Voir ici une synthèse des débats.
  4. Cet enseignement est complété, pour tous les niveaux, par le dispositif « Ligne Azur » soutenu par le Ministère de l’Éducation nationale, qui a pour objectif de « sensibiliser les élèves et de leur procurer des outils d'aide et d'accompagnement contre le rejet de la différence et l'homophobie ».
  5. Pour la rentrée 2013, le gouvernement s’est engagé à « s’appuyer sur la jeunesse pour faire évoluer les mentalités ». Une nouvelle étape prévoit donc une mise à jour des programmes d’éducation à la sexualité, du primaire au lycée. Ainsi, dès la 6ème, les enfants seront incités à se poser des questions sur leur orientation et leur identité sexuelle, en prenant connaissance de diverses orientations et pratiques sexuelles possibles ou bien en lisant des témoignages.
  6. Le Ministre de l’Education Nationale, dans la circulaire de janvier 2013 destinée aux recteurs d’académie, les incite à la fermeté : « Je souhaite que vous accompagniez et favorisiez les interventions en milieu scolaire des associations qui luttent contre les préjugés homophobes (...). Je vous invite également à relayer avec la plus grande énergie, au début de l’année, la campagne de communication relative à la « ligne azur », ligne d’écoute pour les jeunes en questionnement à l’égard de leur orientation ou de leur identité sexuelle. »
Jules Ferry, , circulaire  du 17 novembre 1883 :
"Si parfois vous étiez embarrassé pour savoir jusqu'où il vous est permis d'aller dans votre enseignement moral, voici une règle pratique à laquelle vous pourrez vous tenir : avant de proposer à vos élèves un précepte, une maxime quelconque, demandez-vous s'il se trouve, à votre connaissance, un seul honnête homme qui puisse être froissé de ce que vous allez dire. Demandez-vous si un père de famille, je dis un seul, présent à votre classe et vous écoutant, pourrait de bonne foi refuser son assentiment à ce qu'il vous entendrait dire. Si oui, abstenez-vous de le dire ; sinon, parlez hardiment, car ce que vous allez communiquer à l'enfant, ce n'est pas votre propre sagesse, c'est la sagesse du genre humain, c'est une de ces idées d'ordre universel que plusieurs siècles de civilisation ont fait entrer dans le patrimoine de l'humanité."

Déjà en 2011 le cardinal Vingt-Trois alertait les éducateurs

La théorie du gender prône « une sexualité dissociée de la personnalité »
Education - Actualités
Vendredi, 17 Juin 2011 10:03
Le cardinal Vingt-Trois déplore l'introduction de cette théorie dans les manuels scolaires

Alors que le ministère français de l'éducation nationale a récemment annoncé l'introduction de la théorie du gender dans les manuels de Sciences de la Vie et de la Terre de toutes les classes de premières, le cardinal André Vingt-Trois a déploré une théorie qui prône « une sexualité complètement désarticulée ».
Sur Radio Notre-Dame, l'archevêque de Paris a regretté que la sexualité ne soit présentée aux jeunes qu'en terme de maladies. Face à ce « tableau noir, sinistre », il a souhaité la mise en place d'une véritable initiation à la vie affective.
Le gender, c'est « une manière d'approcher l'expérience humaine de la sexualité d'une façon tout à fait systématique en prétendant que l'orientation sexuelle est une construction purement culturelle », a expliqué le cardinal Vingt-Trois. Une « option » que l'on peut prendre en fonction de ce que l'on désire : « il n'y a pas de prédisposition physiologique ou psychologique mais il y a un choix personnel dans une orientation sexuelle ».
L'archevêque de Paris a rappelé« combien les représentations symboliques sexuelles jouent un rôle primordial dans la construction de la personnalité ». Introduire la théorie du gender, c'est donc « prôner une sexualité complètement désarticulée et dissociée de la personnalité », c'est-à-dire « une sexualité qui se réduit à une relation sexuelle sans envisager comment cette relation sexuelle est articulée avec la construction d'une personne ».
« C'est d'ailleurs ce qui est le plus triste dans ces manuels dont j'ai feuilleté quelques exemplaires : l'image de la sexualité humaine qui est donnée là-dedans, c'est uniquement une image de maladie », a déploré le cardinal. « C'est un enseignement de la sexualité qui est centré exclusivement sur les maladies sexuellement transmissibles, pour donner des conseils pour les éviter, et sur l'interruption de grossesse qui est le passe-partout ». « C'est vraiment une sorte de tableau noir, sinistre, de la sexualité humaine ».
A la rentrée, cet enseignement devrait être inséré dans les cours de sciences naturelles. « Dès l'instant que les éducateurs ne réussissent pas à mettre en place une véritable initiation à la vie affective, ils en sont réduits à faire des sciences naturelles », a expliqué l'archevêque.
Il a rappelé l'importance primordiale « d'aider les jeunes à comprendre que leur sexualité, l'énergie affective qui les habite, n'est pas simplement un phénomène hormonal mais que c'est quelque chose qui est constitutif de leur personne et qui doit leur permettre de grandir ». Et cela, « à condition de l'investir dans une relation humaine ».
Malheureusement, a ajouté le cardinal Vingt-Trois, « on leur explique par toutes sortes de moyens que la meilleure façon de le vivre c'est de n'entrer dans aucune relations humaines. Evidemment, il ne reste plus qu'à déployer des moyens de protection sanitaire ».
Le cardinal a enfin évoqué « un aspect important » de la « mission » des enseignants : « aider les jeunes à découvrir qu'ils ont une personnalité infiniment plus riche qu'il n'y paraît et qu'ils peuvent découvrir un investissement de richesses extraordinaires mais à condition d'entrer dans une relation humaine avec l'autre ». « Or c'est précisément ce qu'on ne veut pas leur dire », a-t-il conclu.

Encore plus loin...formation dès la crèche

 La théorie du genre, ennemie du genre humain
On n’en est plus à une absurdité près. Non content que la théorie du genre fleurisse dans les manuels scolaires, le gouvernement veut maintenant l’imposer à la crèche. Une initiative de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes qui a confié une étude à l’Inspection générale des affaires sociales, publiée ce mardi 26 mars. Je vous explique.
À la naissance, les parents, en bons terroristes intellectuels, choisissent un sexe à leur enfant. Comme celui-ci ne peut pas s’exprimer dans le placenta maternel, notre bébé ne dit rien, mais n’en pense pas moins. Viennent alors les premières années de sa vie, où l’enfant découvre qu’il n’y a aucune différence entre son papa et sa maman.
Lorsque les parents l’inscrivent à la crèche, le chérubin peut alors décider que le changement, c’est maintenant : au placard, les petites voitures pour les garçons et les poupées pour les filles !
Pour inhiber les préjugés déjà machistes du petit garçon, on lui apprendra que l’attribution des jouets est une pure construction de l’esprit, un hobby pour snobinards réactionnaires qui exorcisent leurs fantasmes jamais assouvis de jouer au soldat.
Une petite fille, déjà soumise parce que fille, va pouvoir se libérer de l’emprise de la nature. Ce plus grand dictateur de l’univers (devant Staline) l’empêchait de jouer à Stallone ?
Qu’elle garde un esprit sain dans un corps sans seins : ce n’est tout de même pas son genre féminin qui va décider le genre d’homme qu’elle deviendra !
L’homme que la nature a créé sur terre, la « culture » peut le changer en mère.
L’enfant doit alors s’accrocher (pas au sein de sa mère, c’est avilissant pour elle).
Sa scolarité entamée, on lui apprend très tôt… l’échangisme, mais avec lui-même. Ou comment modifier sa nature et son identité sexuelles au gré de ses envies. Et elles peuvent être pressantes.
Dans les manuels d’école, il doit décoller son esprit des préjugés acquis de manière innée, et rejeter dans un cul de basse-fosse cette fosse d’idées reçues pour sceptiques de la liberté humaine.
Virilité, féminité sont autant de termes qu’il lui faut bannir de son vocabulaire usuel : ils rappellent les heures les plus sombres de notre histoire, quand on ne pouvait pas choisir ce qu’on voulait avoir entre les jambes.
L’entrejambe, ne servant plus à rien, reste donc dans un entre-deux optimiste qui fera voir à l’enfant la vie en rose… ou en bleu.
Ah non, ça non plus il ne pourra pas : quelle curieuse pensée que d’associer les couleurs vestimentaires au sexe de l’enfant !
Auteur :L’observatoire de la théorie du genre a été lancé par l’UNI afin d’offrir aux français les informations et les outils conceptuels nécessaires pour ouvrir les yeux sur la théorie du genre. Le fondement de cette théorie consiste à nier la réalité biologique pour imposer l’idée que le genre « masculin » ou « féminin » dépend de la culture, voire d’un rapport de force et non d’une quelconque réalité biologique ou anatomique.

Première victoire contre la théorie du genre. On ne lâche rien !

Après la loi Taubira, nous avons d'autres combats à mener contre la PMA, la GPA et le développement de la théorie du genre. 
 
   Grâce à nombre d'entre-vous nous venons d'obtenir une première victoire. L’amendement Sommaruga qui ouvrait la voie à l’enseignement obligatoire de la « théorie du genre » à l’école primaire vient d’être retiré par les sénateurs.

Vous avez été plus de 270 000 à signer notre pétition demandant le retrait de cet amendement. Votre détermination et votre mobilisation ainsi que les nombreuses actions de « lobbying » menées par l'équipe de l’observatoire de la théorie du genre ont finalement contraint le gouvernement à accepter une modification de son texte.

Comme nous vous l’annoncions le 17 mai dernier, plusieurs sénateurs de l’opposition avaient accepté de défendre un amendement visant à supprimer de l’article 31 de la loi Peillon toutes références au « genre ».  Le gouvernement et le rapporteur du projet de loi craignant certainement de nouvelles polémiques ont fini par accepter leur demande.

Si nous avons ainsi remporté une première bataille contre les militants de la théorie du genre, il reste bien des combats à livrer.  
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Restons mobilisés contre les avancées de la théorie du genre

Aujourd'hui, face à notre mobilisation, Vincent Peillon tente de minimiser l'influence de la théorie du genre à l'école. En réalité, dès la rentrée prochaine des cours d’éducation sexuelle seront obligatoires pour tous les élèves à partir de 6 ans. Ces cours risquent de devenir un outil de propagation de cette idéologie. Selon certains experts consultés par le ministère, l’objectif de cet enseignement est de « dépasser la binarité historique entre féminin et masculin ». Sic !

L’un des plus importants syndicats enseignants, le SNUipp-FSU, a présenté, il y a quelques jours, le guide qu’il a édité pour former les enseignants à la déconstruction des stéréotypes de genre dès l’école primaire.
L’enseignement est appelé à ne plus se fonder « sur le postulat de la complémentarité des sexes ».

Les enseignants sont invités à s’appuyer sur le dispositif « Ligne Azur 2012 ». Ce site internet extrêmement militant prétend par exemple que l’identité de genre comme l’identité sexuelle ne seraient fondées que sur le simple sentiment d’appartenir à un genre ou un autre, sans que des données anatomiques ou biologiques n’entrent en considération. Sic !.


Le choix des livres proposés aux enfants est aussi très inquiétant. Les enseignants sont invités à s’appuyer pour leurs cours sur des ouvrages comme : « Papa porte une robe », « l’histoire du petit garçon qui était une petite fille », « Le petit garçon qui aimait le rose », ou encore « Mademoiselle Zazie a-t-elle un zizi ».

Ce syndicat milite également pour la généralisation de « l’éducation neutre », malgré les risques qu’elle fait courir aux jeunes enfants. (Consulter l'article que nous avons publié à ce sujet.)

Ces exemples récents nous invitent donc à poursuivre et amplifier notre mobilisation pour faire connaître les dangers de la théorie du genre, à informer les parents pour qu’ils soient vigilants sur ce qu’apprennent leurs enfants. Enfin, nous devons continuer à lutter contre la diffusion de la théorie du genre dans les manuels scolaires.



 28 janvier 2014.
« Il n'y a pas d'enseignement de la théorie du genre à l'école mais une «éducation à l'égalité fille-garçon», a déclaré mardi le ministre de l'Education nationale  ».
"Tout ça est absolument faux, il faut cesser"
"Il y a un certain nombre de parents qui, m'a-t-on dit, ont été inquiets, se sont laissé prendre à cette rumeur totalement mensongère selon laquelle (...) à l'école, on apprendrait aux petits garçons à devenir des petites filles", a déclaré le ministre de l'Éducation nationale en marge de l'installation du Conseil national d'évaluation du système scolaire (Cnesco) à la Sorbonne. "Tout ça est absolument faux, il faut cesser", a-t-il ajouté.
Une expérimentation baptisée "ABCD de l'égalité" lancée à la rentrée par le ministère dans 10 académies, visant à lutter contre les stéréotypes filles-garçons à l'école pour corriger les inégalités entre les sexes dès le plus jeune âge, a contribué à alimenter la polémique.
Pour rassurer les parents, après un appel à boycotter l'école un jour par mois, Vincent Peillon a déclaré mardi qu'il n'y aurait pas d'enseignement de la théorie du genre à l'école, mais une "éducation à l'égalité filles-garçons". "Il y a aujourd'hui un certain nombre de personnes qui diffusent des théories qui sont celles du mensonge, et donc je veux rassurer les parents. Ne vous inquiétez pas, c'est une éducation à l'égalité filles-garçons, au respect filles-garçons et rien de plus", a déclaré Vincent Peillon.(Le Point 28 janv.)

ALORS?
Comment les stéréotypes sexistes pénètrent-ils – encore – le cerveau des tout-petits ? Dans les crèches ou les écoles, les filles en rose et les garçons en bleu sont-ils en passe d’être ringardisés ?
En Converse roses et chemise de bûcheron, Darius, 2 ans, savonne méticuleusement un poupon en plastique dans une baignoire d’enfant. À quelques mètres, des petites filles jouent avec des voitures.
Bienvenue à la crèche Bourdarias, à Saint-Ouen : depuis 2009, l’équipe se mobilise pour lutter contre les stéréotypes de genre qui assignent les enfants à des rôles différents en fonction de leur sexe.
« On encourage les filles à manier le marteau à l’atelier bricolage, et les garçons à s’exprimer à l’atelier émotions », explique David, un des éducateurs. Dans la bibliothèque, les histoires pour la sieste s’intitulent par exemple : Le Papa qui avait dix enfants. 

Cette expérience pilote intéresse le gouvernement : le 7 septembre, la crèche a reçu la visite de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes, et de Dominique Bertinotti, ministre déléguée à la Famille. Elles ont affirmé clairement leur désir de multiplier ce type de dispositif. « C’était mon premier projet en arrivant à ce ministère », a expliqué Najat Vallaud-Belkacem .

(Extraits article du Figaro 7 septembre 2012.)


Qu’en dites vous Monsieur le Ministre ?

septembre 2014


Flagrant délit de genre à l’Education nationale

Voici quelques images du livre « Que font les petits garçons? », abécédaire proposé à la lecture des élèves du primaire par l’Education nationale.





 Après avoir découvert que ce livre était conseillé par l’Education nationale dans l’Académie de Nantes (précédente actualité), qui a retiré la page correspondante de son site le 17 septembre, il s’avère en réalité qu’il est conseillé dans au moins 12 académies.
Lyon (voir site académie)
Sur le livre proprement dit, il est demandé aux élèves d’inverser le point de vue représenté et d’écrire et illustrer « Que font les petites filles » ?
Le livre est recommandé dans ce document avec beaucoup d’autres livres (fille ou garçon, petit zizi, zizis et zézettes l’histoire des garçons et des filles, filles et garçons êtes-vous si différents, la nouvelle robe de Bill et plusieurs dizaines d’autres titres en relation avec le « genre »). L’objectif recherché avec les élèves est notamment de :
Construire son identité sexuelle à travers différents ateliers tels que “transformer un héros masculin en héros féminin (et vice et versa)”ou “créer des personnages imaginaires garçon, fille, puis mi-garçon, mi-fille” ou encore “Rechercher des personnages dont la construction de l’identité sexuelle est influencée par l’entourage,les comportements stéréotypés, les modèles, le poids de l’Histoire”. On notera aussi la rubrique « Construction de l’identité sexuelle, travestissement »
Lille (voir site académie)
« Les thèmes abordés  par le dessin sont l’humour, la peur, la découverte de la sexualité (homosexualité, voyeurisme, …),les bêtises, la mort, les rapports familiaux. »
Rouen (voir site)
« La sexualité : Les allusions explicites à la sexualité contribuent à pervertir les règles habituelles qui, dans les livres pour enfants, ne tolèrent que l’amour désincarné entre deux personnes de sexe différent. Lorsque « Grégory réfléchit. » c’est devant une grande affiche publicitaire pour la lingerie féminine qui joue sur les ressorts de l’érotisme graphique. La découverte de Simon laisse le champ libre aux interprétations les plus scabreuses et le rêve de Joseph le propulse à moitié nu dans sa cage de gardien de but. »
Le livre est aussi recommandé par les académies de Poitiers, Dijon, Montpellier, Caen, Nancy-Metz, Grenoble, Créteil,Toulouse, Besançon (cliquez sur les villes).

Si jamais les pages données en lien sont effacées par les académies, comme l’académie de Nantes l’a fait, prévenez-nous, nous vous fournirons les copies.

octobre 2014

Verbatim Gender : actualités et politique 

Ils nous disent que la théorie du genre n'existe pas ?????

mise en ligne le 6 octobre 2014

visionnez cette vidéo You tube

octobre 2014

Pièce de théâtre sur le genre à l’Ecole : « Mon frère, ma princesse »

UNE PIÈCE DE THÉÂTRE intitulée « Mon frère, ma princesse » publiée aux éditions de l’Ecole des loisirs pour les enfants dès 10 ans sera jouée dès le CE2 dans certaines écoles à partir de début décembre par la compagnie théâtrale des veilleurs.
Cette pièce a reçu le prix Collidram 2013 (prix de littérature dramatique décerné par un jury de collégiens), et la compagnie des veilleurs a reçu le soutien des collectivités territoriales en Rhône-Alpes.
Centrée sur le genre, elle raconte l’histoire d’un petit garçon qui voulait être une petite fille. Les propos sont particulièrement durs et violents, avec l’évocation du meurtre, du suicide, et d’une agression sexuelle. Le style de la pièce est vulgaire, et contient de nombreuses fautes de français.
 A ce jour les départements concernés par cette programmation sont les suivants : 38, 92, 45, 42, 69.
Les parents doivent être attentifs, et pour cela ne pas hésiter à rencontrer et dialoguer avec les enseignants pour connaître les intervenants extérieurs, et le contenu des spectacles et des sorties programmés à l’école de leurs enfants.
Merci de bien vouloir faire part de vos témoignages et expériences à l’adresse suivante : cnafc@afc-france.org

novembre 2014

Comprendre le "gender" en moins de 3 minutes

 Ajoutée le 25 nov. 2014
Alors que mardi 25 novembre Najat Vallaud-Belkacem a présenté le Plan égalité entre les filles et les garçons attendu depuis le mois de juillet dernier et revendiqué comme une amplification de l’ABCD de l'égalité, contesté sur le terrain par de nombreux parents
La Manif Pour Tous propose une vidéo pédagogique pour comprendre les enjeux du gender en moins de 3 minutes. 
Un outil pratique à partager et à diffuser sans modération...




"A force de faire comme si tout était pareil, un garçon ne sait plus s'il est un garçon, une fille ne sait plus si elle est une fille. A-t-on réglé le problème de l'égalité? Non, on a juste créé un autre problème, celui de l'identité"

Octobre 2016

A ceux qui sont concernés par l'intrusion de l'idéologie du genre dans l'école de leurs enfants.....


Ne vous laissez pas prendre par les fausses annonces lancées par l'Education Nationale ! Les ABCD de l'égalité ne sont pas abandonnés ! Non, ils sont généralisés à l'école primaire et même aux collège ! sous le nom de "Plan d’action pour l’égalité entre les filles et les garçons", qui permet une généralisation de l'idéologie du genre à l’école.
De plus, la réforme des rythmes scolaires ouvre la porte de l’école à des intervenants extérieurs susceptibles de faire la promotion de l’homosexualité à nos enfants.....lire la suite sur le BLOG des parents d'élèves de DORDOGNE